Quand on a les moyens, que ce soit financiers ou en termes d’infrastructure, c’est plus facile d’attirer des joueurs. Donc aujourd’hui, je préfère anticiper que d’être balayé faute de moyens. Je ne veux pas me faire refuser l’accession par la DNCG faute de moyens financiers. Si ça devait arriver, ce serait une catastrophe pour tout le monde. Je ne veux pas non plus de mécène venu d’on ne sait où. Il faut travailler dans la sérénité, dans le calme et trouver quelqu’un qui souhaite fortement s’impliquer en Bretagne et à Brest. A ce jour, j’ai eu deux rendez-vous avec une personne qui pourrait être intéressée et nous allons continuer à travailler. Cet investisseur potentiel souhaiterait être propriétaire à la fois du club et du stade.

Quand vous pensez que nous arrivons à avoir un budget de plus de 3,6 MEUR en ne couvrant qu’une zone qui ne va pas au-delà de Morlaix, ça prouve le potentiel qui existe dans le Finistère. J’en profite pour rappeler que le Stade Brestois a le budget partenaires le plus important de la Ligue 2 : ça prouve que les entreprises ont envie de s’investir auprès de nous pour leur ville et leur région au travers du sport de haut niveau.